Éditorial et poésie sur chocolat et pentes de ski

Deux événements clés de la semaine : La St-Valentin, et les Olympiques.

Oui, oui, les Olympiques ça fait longtemps que c’est commencé, mais étant donné que c’est en cours, ça compte comme étant un sujet d’actualité.

Je crois vous l’avoir déjà dit, je n’ai jamais été un grand sportif. J’ai déjà été grand (je le suis encore), mais pas sportif. Je suis donc juste un grand. Et bientôt un gros, mais ça c’est une autre histoire. Mon père blaguait toujours que moi je me levais plus tôt dans ma journée pour haïr le sport. C’était logistiquement inexact, mais l’essence avait un fond de vérité.

Je suis désolé, mais personnellement, le bénéfice du sport, ou de l’activité physique plus précisément, c’est d’être en forme, en santé, bouger, être bien, etc. Moi, m’écraser sur un divan à regarder des millionnaires se foncer dedans et se donner des commotions cérébrales, je ne vois pas du tout l’intérêt.

Et par pitié, arrêtez de dire « on a gagné » ou « on a bien joué » hier! Remarquez qu’ici je ne parle pas aux partisans des Canadiens, parce que je ne crois pas qu’ils aient l’opportunité de dire ça bien souvent. Mais pour tous les autres, arrêtez! Vous ne participez pas! Vous n’avez aucun mérite à réclamer cette victoire. Levez-vous de votre derrière et aller vous en faire des victoires plutôt que de siphonner celles des autres!

Ce qui nous amène aux Olympiques, et à ces nombreux sports de niche qui n’intéressent qu’un fragment infime de la population. Je vais le dire, décider d’être un athlète, c’est la chose la plus égoïste au monde. Ils s’entraînent durant des mois et des années, pour devenir le ou la meilleur/e en xyz. Tous leurs efforts sont démontrés une fois aux 4 ans pendant deux minutes, et merci bye. Voyons Timothé Bélair (non d’athlète olympique fictif) tu veux devenir le meilleur de tous. Ne sais-tu pas que le meilleur de tous c’est Ash Ketchum? (Pokémon, attrapez-les touuuuus! Pokémon!)

Les artistes au moins, ils offrent des produits artistiques qui peuvent être consommés à répétition, par un grand nombre de personnes. C’est pas un one shot deal.

Ce qui nous amène à la St-Valentin et à la poésie.

Ben oui, c’était la journée vide de la commercialisation de l’amour (parlé comme un bon célibataire aigri). Et en cet honneur, un ami poète a mis des poèmes sur les réseaux sociaux. C’était beau et joli, et c’est venu nourrir mon aigreur naturelle.

Voici donc, en réponse, mon poème de la St-Valentin en retard :

Des cœurs, des fleurs

Il reste plus de beurre

Dans le beurrier

Chandelle, dentelle

Acheter le logiciel

Pour les impôts

Je sens ton nom couler dans mes veines

La main sur ton visage de porcelaine

Le porc haché est en spécial cette semaine

Oups, je pense que j’ai mélangé ma liste d’épicerie au travers… je suis vraiment désolé!