Vide-grenier
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Ah
lala, décembre, la neige, les lumières, l’ambiance festive!
C’est
aussi signe que la fin de l’année approche à grands pas. Et laissez-moi
profiter de ce moment pour vous remercier, paires et paires de lecteurs, pour
une autre belle année contre le bonheur de toute sorte!
Cette
année, nous avons dépassé les 3 000 vues sur le blogue! Oui! Les
statistiques ne m’indiquent pas le nombre de lectures des articles par contre,
ça ça doit avoisiner la basse douzaine. Mais bon, qu’est-ce que ce blogue sinon
un sanctuaire pour les quelques âmes égarées et désagréables de la vie, et un
truc à mettre sur mon CV avec l’annotation « capable de gérer des projets
à long terme »?
Avant
de vous proposer la traditionnelle histoire de fin d’année de cette chère
madame Rayonne, permettez-moi de vider le grenier de mes archives un peu, afin
de pouvoir commencer 2016 avec des listes vides. Parce que des fois, des
archives, on perd le contrôle là-dessus, ouf!
Donc
voilà, pêle-mêle, des idées, histoires, etc.
Bon
ok, ceux qui ont le moindrement d’esprit critique verront à travers mon jeu,
que j’étais un cours d’inspiration cette semaine et que j’ai essayé de me
patchworker un billet, ok?! Êtes-vous content de m’humilier ainsi publiquement?
Finalement
je suis content d’avoir juste deux lecteurs. (Bonjour maman!)
*
Quelques
nouvelles règles de vie que je propose :
Les
fins de sessions vont être échelonnées sur une durée équivalente à la session
en tant que telle.
J’imagine
que je devrais me considérer chanceux que la mienne se termine selon le
calendrier normal, n’ayant pas été victime d’une grève xyz, mais il reste que
les fins de session, c’est la pire chose au monde. Ce printemps, j’ai eu deux
examens le même jour. C’est vraiment optimal ça hein!
Les
magasins vont arrêter de fermer dans les centres d’achats.
Sinon
il va falloir engager des zombies pour s’harmoniser avec l’ambiance lugubre des
vitrines tapissées de papier et des lumières fermées.
Le
Metamucil que je prends va arrêter d’être si efficace que ça.
Je
suis rendu que je fais des troncs d’arbres et que j’ai l’anus en feu.
Pouvons-nous nous calmer les fibres là?
*
Quelques
choses que ma mère m’a dites que je n’ai pas encore comprises :
Essuyer la vaisselle avec un linge mouillé
ça va mieux qu’avec un linge sec. Ça, conceptuellement, c’est juste non.
L’équation: mouillé + mouillé = sec est une aberration à ma logique vulcaine.
Je ne comprends pas comment le vieux linge à vaisselle mouillé peut être plus
efficace qu’un beau linge propre et sec, qui a, dans mon esprit, de la place
dans son corps pour aspirer toute l’eau qui réside sur l’assiette. Je refuse
d’y croire!
De l’eau froide ça bout plus vite que de
l’eau chaude. Il y a probablement une explication chimique derrière cela,
malheureusement, la seule chose que je me souviens de ma chimie, ce sont les
réactions exothermiques et endothermiques, car le prof nous avait fait manger
des bonbons durant le cours. Les menthes étaient des exemples de réaction
endothermique, car elles aspiraient la chaleur de notre bouche, et les bonbons
qui explosent et pétillent dans la bouche étaient un exemple de réaction
exothermique, car bien sûr ils dégageaient de la chaleur en explosant. Tout
cela pour dire que maintenant je ne fais plus de spaghetti.
*
Histoire
de centre d’achats 2 :
Lors
de l’un de nos traditionnels dîners hebdomadaires au centre d’achats,
l’héritier et moi sommes dans un magasin (comme ça arrive dans un centre
d’achats). La caisse principale est bondée, une vendeuse nous
dit : « Allez à celle des enfants, elle est ouverte et il n’y a
personne. » Nous allons donc dans la section des enfants, et restons
plantés comme des piquets pendant cinq minutes. L’héritier se met à rager,
pendant que je suis distrait par une chanson qui sample la musique thème des
Feux de l’Amour. Un vendeur nous voit, il nous demande : « C’est
pour payer? » L’héritier lui explique que la fille nous avait dit d’aller
là blablabla. Il appelle la vendeuse de la section enfants qui est en train de
plier des vêtements. En s’approchant, elle part pour serrer la main à
l’héritier et se présente. Elle pensait que nous étions des nouveaux employés!
L’héritier lui dit : « Je peux bien me présenter si tu veux,
l’héritier, le gars qui va te faire jouir ce soir. »
Voici
l’histoire textée par l’héritier, avec la mention à la fin du message
« voilà l’histoire véridique ». Ma mémoire est floue sur la fin, mais
encore là, lorsque le thème des Feux de l’Amour se met à jouer, j’ai des
souvenirs de ma grand-mère qui apparaissent dans ma tête et mon attention
diverge…