Hey oui, je me lance! Après avoir tergiversé quelques
mois, voire plus d’une année. Je viens finalement agrémenter le magnifique
blogue de Contre Le Bonheur d’un billet propre à moi, pas une fiction comme ma
très populaire fiction du mois d’octobre dernier (lire ici).
Vous me direz, oui, mais l’Hériter, pourquoi nous
avoir fait attendre si longtemps? Pour vous répondre bien franchement, je
n’avais vraiment rien à vous dire et Paxton fait un très bon travail pour vous
divertir. Je vous entends vous dire que c’est pas une bonne raison, et que si
j’ai rien à vous dire depuis 1 an, j’ai surement rien à vous dire encore aujourd’hui. Eh bien, mes chers lecteurs, vous avez entièrement raison. J’écris
juste pour faire taire les commentaires passifs agressifs de M. Contre Le
Bonheur ;) .
Maintenant que c’est mis au clair, je vous présente,
le précis de Comment écrire un texte de
cinq-cents mots sans avoir rien à dire.
D’abord, choisissez un sujet qui vous tient à cœur, ou
non. Dans mon cas il s’agit de l’angoisse purement pour que mon titre soit un ClickBait.
Ensuite, élaborez le sujet en utilisant une quantité
gargantuesque d’adjectifs et utilisez grandement les adverbes
Enfin, terminez avec une ouverture à la fois profonde
et vide de sens (je voulais faire une blague anale, mais elle aurait été plus
réussie si mon ouverture avait été pleine de sens…)
Bon an mal an, il nous reste seulement quelques 250
mots, ou environ, à écrire. J’ai bourré la moitié du texte avec du vide! You go l’Hériter!
Donc!!! Revenons à notre angoisse. Qui n’a jamais vécu
ce sentiment? Le Larousse définit ce mot comme suit :
Grande inquiétude, anxiété profonde née du sentiment
d'une menace imminente, mais vague
Je ne sais pas pour vous, mais ce n’est pas juste la
menace qui est vague… La définition aussi. En tous cas, un petit truc (hors du
précis de Comment écrire un texte de
cinq-cents mots sans avoir rien à dire) rajoutez des informations hautement
scientifiques! Ça te stuff un texte ça mes amis! Je ne sais pas pour
vous, mais moi au secondaire, j’ai eu des cours très pertinents de latin Spes messis in semine! Ave pis c’est pas mal ça que je me
souviens. Donc, dans mes nombreux cours on me disait toujours, allez voir la
racine du mot en latin, c’est toujours plein de sens.
Pour tous les (très
nombreux j’en suis certain) latinophones de ce blogue, vous savez sans doute
déjà d’où vient le mot angoisse, mais pour les autres je vais vous le
dire : Angustia, soit resserrement en bon vieux français. Et ce n’est pas
fou quand on y pense. Quand on angoisse, on se sent serré pas mal de partout…
Voici donc le moment de la conclusion, l’ouverture
profonde et pleine de sens.
La réponse au comment vivre avec l’angoisse. Je vous
vois vous tenir sur le bout de votre siège. Quand vous vous sentez trop serrés,
slackez un trou de votre ceinture.
Je suis heureux que tu répondes bien à l'harcèlement, je vais continuer cette stratégie :)
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